Synopsis : La vie est tranquille dans un petit village de Norvège. La seule animation provient de la maison de Feodor, un inventeur farfelu, et de ses deux amis, Solan, un canard bavard et vantard et Ludvig, un hérisson timoré. Feodor vient de mettre au point un traîneau à moteur que Solan est pressé d’essayer... Dommage qu’il n’y ait pas encore de neige ! Tout le monde attend les premiers flocons, sans lesquels Noël ne serait pas tout à fait Noël. Le journal local s’échine à annoncer leur arrivée, mais rien ne vient et l’éditeur est bien embarrassé... Émerge alors l’idée de fabriquer une machine à neige. Feodor est tout indiqué pour la construire, mais il considère qu’il ne faut pas se mesurer à la nature. Pourtant, le défi le tente. Et Ludvig serait tellement content... Commence alors une histoire trépidante, pleine d’humour, d’action et de surprises !
Tout est exprimé dans le synopsis. Un film de Noël, pour les enfants avec les dangers d’être un inventeur de génie et surtout un directeur de journal qui veut créer des événements pour vendre ce qu’il publie. Un film d’animation, délicieusement suranné, ou tout finira par s’arranger... et où il y aura même de la neige pour Noël.
Le film a cartonné en Norvège (1million d’entrées, soit 1/5e de la population). Filmé image par image, il change des films traités par ordinateur et surtout offre un deuxième niveau de lecture, plus orienté vers les adultes : la critique des médias qui veulent faire de l’audience à tout prix et le danger de certaines innovations techniques non contrôlées. A voir donc en famille pour en parler ensuite entre adultes et adultes et enfants. Cela nous change des productions ultra commerciales.