Synopsis : National Gallery s’immerge dans le musée londonien et propose un voyage au cœur de cette institution peuplée de chefs d’œuvre de la peinture occidentale du Moyen-âge au XIXe siècle. C’est le portrait d’un lieu, de son fonctionnement, de son rapport au monde, de ses agents, son public, et ses tableaux. Dans un perpétuel et vertigineux jeu de miroirs, le cinéma regarde la peinture, et la peinture regarde le cinéma.
Je m’abstiens de donner une cote car je me sens bien en peine de rendre en vérité une note pour ce documentaire de presque 180 minutes car je manque de compétence pour ce qui a trait aux oeuvres picturales. J’ai découvert et appris pas mal de choses passionnantes, même si je dois avouer que les trois heures m’ont paru longues à certains moments.
Peut-être qu’un format plus confortables serait une diffusion en quatre parties de 45 minutes sur la chaîne Arte, le soir... du moins pour ce qui nous est présenté là.
En revanche, pour les salles, j’aurais préféré que le réalisateur fasse du musée un personnage à part entière plus que la découverte des oeuvres. Ainsi certaines éléments tels la restauration de celles-ci, la politique de promotion à mener, les réunions de travail sur le financement du musée auraient dû faire le coeur de ce documentaire, en le résumant à 1h30.
Mais sérieusement, j’atteins peut-être mon seuil d’incompétence, aussi, je vous invite à découvrir d’autres critiques pour vous faire une idée et un jugement correct et en particulier celle de Louis Danvers en pages 22 à25 du Focus Vif n°50 du 12 décembre 2014.