Un film de Luc Besson, avec Dane DeHaan, Cara Delevingne, Clive Owen, Rihanna, Mathieu Kassovitz, Alain Chabat
Synopsis Nous sommes en 2740. Valérian et Laureline forment une équipe d’agents spatio-temporels chargée de maintenir l’ordre dans les territoires humains. Mandaté par le ministre de la Défense, le duo part en mission sur l’extraordinaire cité intergalactique Alpha - une métropole en constante expansion où des espèces venues de l’univers tout entier ont convergé au fil des siècles pour partager leurs connaissances, leur savoir-faire et leur culture. Un mystère se cache au cœur d’Alpha, une force obscure qui menace l’existence paisible de la Cité des mille planètes. Valérian et Laureline vont devoir s’engager dans une course contre la montre pour identifier la terrible menace et sauver non seulement Alpha, mais aussi l’avenir de l’univers.
Le test
Nous avions apprécié le dernier film de Luc Besson, ce qui n’a pas été le cas d’un certain nombre de confrères critiques de cinéma. Notre enthousiasme allait-il résister à l’usure du temps (intéressant pour un agent spatio-temporel même si ce thème n’a pas été développé ici) ou bien allions-nous nous laisser entrainer dans le Besson-bashing incompréhensible, comme s’il était de bon ton d’être contre !
Que du contraire, à tel point qu’après la vision du film, nous avons publié ce message sur Facebook (une page perso écrite en "je" et pas en nous bien sûr !).
Il y a quelques jours j’ai regardé le BR de Valerian, film pour lequel j’étais totalement enthousiaste après la vision, au grand dam de confrères et consoeurs qui se demandaient probablement ce qui m’arrivait et si je n’étais pas tombé sur la tête.
C’est que je découvris Valerian en 1967 (ce n’était pas encore Valerian et Laureline à l’époque) dans Pilote qu’un condisciple apportait à l’internat (j’avais quinze ans à l’époque). J’ai plongé de nombreuses années dans cet univers et lorsque le "premier" épisode de Star Wars de la "première" trilogie est sorti en 1977 (et les suivants), je me suis senti en terrain de connaissance.
Depuis le début de la trêve des confiseurs, profitant d’une pause dans les visions presse, je suis plongé dans l’intégrale des vingt-et-un albums. Du pur bonheur (probablement régressif) sans compter que je prends conscience des nombreux emprunts de Star Wars à Valerian (et Laureline) dont les créateurs furent des pionniers. Mon enthousiasme demeure donc intact pour l’adaptation magistrale de Luc Besson. J’accepte d’être maudit par les critiques, les confrères, les fans et geeks de tout genre. L’expérience du film fut proprement jubilatoire et j’ose écrire : chapeau monsieur Besson !
Voilà, tout est dit ou plutôt écrit, mais qu’en est-il du Bluray testé ? Nous l’avons visionné en vidéoprojection sur un écran de trois mètres de base et autant dire que images et son "en jettent" et que cela ne devrait poser aucun problème pour des visions plus classiques sur téléviseurs grands écrans. Signalons que nous avions reçu une édition BR très simple avec un seul disque. Pas de bonus donc ce qui explique la cote "0" dans l’encadré ci-dessus qui ne vaut donc que pour cette version. Prudence donc si vous être, comme nous, fans de bonus, il existe plusieurs versions (dont 3D et 4K) dont vous trouverez le descriptif ci-dessous.
Spécifications du film
- Disponible en : DVD, BLU-RAY Steelbook, BLU-RAY 3D Steelbook, 4K BLU-RAY Steelbook
- Genre : science-fiction
- Version DVD : ENGLISH DOLBY DIGITAL 5.1 - FRANÇAIS DOLBY DIGITAL 5.1
- Version BLU-RAY Steelbook : ENGLISH DOLBY ATMOS - FRANÇAIS DOLBY ATMOS
- Version BLU-RAY 3D Steelbook : ENGLISH DTS-HD MA 7.1 - FRANÇAIS DTS-HD MA 7.1
- Version 4K BLU-RAY Steelbook : ENGLISH DOLBY ATMOS - FRANÇAIS DOLBY ATMOS
- Sous-titrage : FRANÇAIS / NEDERLANDS
- Durée film : ± 131 min
- Durée bonus : ± 191 min