Synopsis :
1. Une marginale de 16 ans découvre une boîte magique qui lui promet de lui donner la vie qu’elle a toujours souhaité avoir... Sauf que chaque souhait demande un paiement mortel...
2. Pas facile de survivre à l’enfer du lycée, Claire Shannon et ses copines en savent quelque chose. Du coup, quand son père lui offre une ancienne boîte à musique dont les inscriptions promettent d’exaucer tous ses vœux, Claire tente sa chance. Et ça marche ! Argent, popularité, petit ami, tout semble parfait. Mais le rêve a un prix : au fur et à mesure de ses souhaits, des personnes de son entourage meurent dans des conditions particulièrement atroces. Claire le sait : elle doit se débarrasser de la boîte pour sauver sa vie et celle de ses proches avant de faire le voeu de trop.
Acteurs : Sherilyn Fenn, Joey King, Shannon Purser, Ki Hong Lee, Elisabeth Röhm, Ryan Phillippe.
Le réalisateur d’Annabelle (2014) nous propose un film d’horreur trop classique, trop cliché et pas assez horrifique sur un thème ultra rabâché, celui de l’exaucement de voeux, ici non pas par une fée ou une lampe magique, mais par une boite à musique assez démoniaque. Sujet abordé dans de nombreux contes, dans la littérature également : je songe aux nouvelles The Laxian Key (1955) ou Something for Nothing (1954) de Robert Sheckley. Ici, Claire apprendra à ses dépens que l’on n’a rien pour rien, mais aussi qu’à défaut de lire le mode d’emploi avant d’utiliser quelque chose il faut au moins connaître le chinois ancien ! Wish Upon ne fait pas vraiment peur et il met souvent en hors champ la majorité des scènes trash... espérant jouer sur deux tableaux : générer du suspens et pouvoir abaisser l’âge d’accès dans les salles de cinéma. A l’arrivée nous avons surtout affaire à un teen movie qui nous montre les classiques rivalités adolescentes en milieu scolaire. Un film qui se verra sans surprise et que l’on oubliera tout aussi rapidement. A noter cependant, pour l’anecdote, dans le rôle du père de Claire, Ryan Phillippe que l’on avait découvert dans la série On ne vit qu’une fois et dans le film Studio 54 (1998).
Bande-annonce :