Né en septembre 1984, "Thomas Coumans sort de l’INSAS en 2006. Il fait ses premiers pas à l’écran aux côtés de réalisateurs tels que Serge Mirzabekiantz dans One, Harry Cleven dans La Fille de l’autre et Joachim Lafosse dans Élève libre. En 2009, Alain Berliner lui confie le rôle principal du téléfilm La Peau de Chagrin et François Marthouret celui de Comment va la douleur ?. En 2011, il tourne dans le clip Maniac de Pieter Dirckx pour le groupe "Clap Your Hands Say Yeah".
S’ensuivent les tournages des nouveaux films de Fabienne Godet Une place sur terre et Delphine Lehericey Puppylove. En novembre 2012, il était sur France 2 dans le docu-fiction Le Cerveau d’Hugo de Sophie Révil. Il joue également dans différents projets de marionnettes, théâtre et danse. Après la création du spectacle Fear and Desire en novembre dernier à Bruxelles, il travaille à l’écriture d’un seul en scène. Génération 25ème !" (source du texte ci-dessus - 2013).
En 2013, Thomas Coumans joue dans La confrérie des larmes de Jean-Baptiste Andrea et en 2015, il rejoint le casting du film Les Innocentes d’Anne Fontaine. Il joue aussi bien en français qu’en néerlandais (Noordzee, Texas en 2011) ou en espagnol (Lobos sucios, terminé en 2015). Il avait un des rôles principaux dans On avait dit qu’on irait jusqu’en haut, court métrage de Tizian Büchi (que nous recevrons le mois prochain sur RCF) primé au Festival International du Film d’Amour de Mons. Il a tourné dans de nombreux courts dans lesquelles il donne à voir sa grande palette de jeu dans des styles très différents, ainsi dans Chaleur humaine de Christophe Predari (2012). L’on peut se référer à sa fiche IMDB pour en savoir plus. On le verra prochainement dans Je me tue à le dire, premier long métrage de Xavier Seron où il joue le rôle d’un modèle, second rôle où il donne la réplique à Jean-Jacques Rausin. Cette comédie dramatique sortira le 3 mai prochain en Belgique.
C’est un acteur (mais aussi comédien et danseur) passionné que nous avons rencontré sur RCF. Voici le podcast de son interview au cours de laquelle il nous parle aussi du statut (précaire) des artistes et des acteurs en particulier.